Plainte pour discrimination envers les adolescents

Vous trouverez ici-bas ma plainte à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse ainsi qu’au Protecteur du citoyen du Québec pour discrimination envers les enfants et adolescents non vaccinés pour leur avoir interdit de participer aux équipes sportives de leur école, interdit de s’inscrire à des clubs de sports et interdit de s’entrainer dans les gyms. Si vous voulez utiliser mon texte pour rédiger et transmettre votre propres plaintes ou pour faire valoir vos droits, je vous encourage à le faire.

PLAINTE POUR DISCRIMINATION

Depuis septembre 2021, la Santé publique du Québec, le Gouvernement du Québec et les Centres de services scolaires interdisent à nos enfants de s’inscrire dans les équipes sportives de leur école, dans les clubs de sports et dans les gyms. 

Mes enfants sont discriminés alors que les vaccins actuels n’immunisent pas et permettent la transmission du virus relié au Covid-19.  Je demande que soit levée cette interdiction et cette discrimination envers les enfants et adolescents du Québec.

Mes enfants sont au secondaire et souhaitent s’inscrire aux équipes sportives de leur école. Cependant, dans les directives d’inscription aux équipes sportives que nous avons reçu de la Commission scolaire ainsi que de leurs écoles secondaires, seuls les élèves vaccinés contre la Covid-19 sont acceptés dans les équipes sportives. Ainsi parce que mes enfants ne sont pas vaccinés, on leur interdit de s’inscrire dans les équipes sportives de leur école, on leur interdit de participer à des clubs de sports et on leur interdit d’aller au gym.

Or ceci est totalement discriminatoire en vertu des chartes et lois suivantes:

  1. Chartes des droits et libertés québécoise : articles 1 à 5, 9 à 11, 15, 16, 17, 24, 41 à 44, 46.1, 49 à 54) (http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/showdoc/cs/c-12)
  2. Chartes des droits et libertés canadienne : articles 7, 12 et 15) (https://www.canlii.org/fr/ca/legis/lois/annexe-b-de-la-loi-de-1982-sur-le-canada-r-u-1982-c-11/derniere/annexe-b-de-la-loi-de-1982-sur-le-canada-r-u-1982-c-11.html)
  3. Code civil du Québec : articles 1, 3, 4, 6, 7, 10, 11, 12 http://legisquebec.gouv.qc.ca/fr/ShowDoc/cs/CCQ-1991
  4. Loi sur la non-discrimination génétique (L.C. 2017, ch. 3) (https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/G-2.5/page-1.html#h-241278)

Nous jugeons que selon nos convictions fondées sur l’éthique, la science, les statistiques et en lien avec nos états de santé respective, nos enfants n’ont pas à être vaccinés pour les raisons suivantes :

  • Les vaccins offerts aux adolescents (12 ans à 17 ans) ont été mis en place dès le 25 mai 2021 (La campagne de vaccination en milieu scolaire pour les 12 à 17 ans se tiendra à compter du 7 juin. Mais dès mardi prochain, le 25 mai, les adolescents plus pressés pourront prendre rendez-vous dans les cliniques de vaccination de masse.Vaccination dans les écoles à partir du 7 juin [VIDÉO] | COVID-19 | Actualités | Le Soleil – Québec). Pourtant ces vaccins étaient alors encore en phase d’essai clinique expérimental. Santé Canada mentionne que (Vaccin Spikevax de Moderna contre la COVID-19 – Canada.ca & Vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 – Canada.ca) l’utilisation des vaccins Spikevax® de Moderna et Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 a été autorisée au Canada au titre de l’Arrêté d’urgence concernant l’importation, la vente et la publicité de drogues à utiliser relativement à la COVID-19. Cet arrêté d’urgence est arrivé à échéance le 16 septembre 2021. À partir de cette date, le vaccin Spikevax® de Moderna et Comirnaty® de Pfizer-BioNTech sont devenus autorisés au titre du Règlement sur les aliments et drogues. Éthiquement parlant, comment peut-on administrer massivement la vaccination chez les adolescents alors que l’Arrêté d’urgence n’est pas encore levé et que donc que ces vaccins sont encore en phase d’essai clinique ?
  • D’autres études et essais cliniques sont en cours sur des enfants de 6 mois à 12 ans et de 12 à 17 ans. Éthiquement parlant comment peut-on autoriser de telles études et essais cliniques chez des enfants qui n’ont pas de facteur de risque en lien avec la Covid-19 ? (Médicaments et vaccins pour la COVID-19 : Essais cliniques autorisés – Canada.ca : VAC31518COV2001 (# de contrôle 246908) Autorisé en vertu de l’Arrêté d’urgence pour les essais cliniques : chez les adolescents en bonne santé âgés de 12 à 17 ans inclusivement; mRNA-1273-P204 (# de contrôle 254169) Autorisé en vertu de l’Arrêté d’urgence pour les essais cliniques : chez les enfants en bonne santé âgés de 6 mois à moins de 12 ans).
  • Par ailleurs, normalement des vaccins prennent une dizaine d’années avant d’être approuvés. Médicaments et vaccins pour la COVID-19 : Essais cliniques autorisés – Canada.ca 
  • Et bien que les gouvernements tentent de nous rassurer en mentionnant les progrès scientifiques et technologiques, la collaboration internationale entre les scientifiques, les professionnels de la santé, les chercheurs, l’industrie et les gouvernements ainsi que l’augmentation du financement réservé, nous demeurons avec un doute sérieux sur les effets à long terme qui n’ont pas encore été étudiés, de même que sur les risques d’effets secondaires à court terme dont la prévalence augmente de façon alarmante puisque 83% de la population de plus de 12 ans est vacciné 2 doses, car la pression sociale, médiatique et politique que les gouvernements et les médias mettent sur les parents et les enfants est énorme. Nous sommes traités de tous les noms tous les jours dans les médias officiels, dans les médias sociaux et même par les députés et ministres parce que nous, les parents, nous posons des questions, soulevons des doutes, ciblons des incohérences et qu’on nous répond, quand « ils » se donnent la peine de nous répondre ce qui arrive rarement, par des insultes, du dénigrement et ce, sans répondre jamais à nos interrogations.
  • Selon les statistiques de l’INSPQ (Données COVID-19 par vague selon l’âge et le sexe au Québec | INSPQ) depuis le début de mars 2020 et jusqu’à aujourd’hui, les enfants et les adolescents et les jeunes adultes ne sont PAS affectés outre mesure par ce virus. Les statistiques de décès, d’hospitalisation et de comorbidité le démontrent clairement.
    • Depuis mars 2020, il y a eu seulement 2 décès chez les moins de 19 ans;
    • Sur le cumulatif de toutes les personnes hospitalisées avec l’étiquette Covid-19, il y a seulement 1.7% chez les moins de 19 ans. Leur nombre est tellement petit qu’il n’est pas identifié dans le diagramme circulaire;
    • Sur le cumulatif de toutes les personnes admises aux soins intensifs avec l’étiquette Covid-19, il y a eu seulement 1.4% chez les moins de 19 ans. Leur nombre est tellement petit qu’il n’est pas identifié dans le diagramme circulaire.
Données de l’INSPQ au 1er octobre 2021
Données INSPQ 1er octobre 2021
Données INSPQ 1er octobre 2021
Données INSPQ 1er octobre 2021
Données INSPQ 1er octobre 2021
Données INSPQ 1er octobre 2021
Répartition des décès – Données INSPQ au 1er octobre 2021
Données INSPQ au 1er octobre 2021
  • Le taux de survie de la Covid-19 pour les 0 à 49 ans est de plus de 99.84 % (selon le CDC au 4 août 2021).
CDC – août 2021
  • L’OMS a statué que faire de l’activité physique masqué était nuisible à la santé. Cependant les écoles et le Gouvernement du Québec ont maintenu l’obligation du port du masque pour les enfants lors de leur cours d’éducation physique alors que les professeurs eux-mêmes ne sont pas masqués ni dans leur classe ni dans les cours d’éducation physique. Pourquoi les professeurs ont-ils droit à un traitement privilégié, mais que mes enfants doivent subir le masque 8 heures par jour, 5 jours par semaine ?
    • Maladie à coronavirus 2019 (COVID-19): masques (who.int)
    • Dois-je porter un masque lorsque je fais de l’exercice ? Même dans un contexte de transmission de la COVID-19, ne portez pas de masque lors d’une activité physique soutenue, car ils peuvent réduire votre capacité à respirer. Quelle que soit l’intensité de l’activité physique que vous pratiquez, maintenez une distance d’un mètre avec les autres, et si vous êtes en intérieur, assurez-vous que l’endroit est correctement ventilé.
  • Selon l’étude du CDC du 6 août 2021, il a été démontré que la charge virale entre les vaccinés et les non vaccinés est similaire et une autre étude du Lancet publiée le 10 août 2021 mentionne même que les faibles niveaux d’anticorps neutralisants induits par le vaccin expliquent la transmission entre les personnes vaccinées. À quoi servent réellement ces vaccins, je me le demande ?
    • Transmission de la variante delta du SRAS-CoV-2 parmi les travailleurs de la santé vaccinés, Vietnam :
      • « Résultats : Entre le 11 et le 25 juin 2021 (semaine 7 à 8 après la dose 2), 69 travailleurs de la santé ont été testés positifs pour le SRAS-CoV-2. 62 ont participé à l’étude clinique. 49 étaient (pré)symptomatiques, l’un d’eux nécessitant une supplémentation en oxygène. Tous se sont rétablis sans incident. 23 séquences complètes du génome ont été obtenues. Ils appartenaient tous à la variante Delta et étaient phylogénétiquement distincts des séquences contemporaines de la variante Delta obtenues à partir de cas de transmission communautaire, suggérant une transmission continue entre les travailleurs. La charge virale des cas d’infection par la variante Delta était 251 fois plus élevée que celle des cas infectés par d’anciennes souches détectées entre mars et avril 2020. Le délai entre le diagnostic et la PCR négative était de 8 à 33 jours (médiane : 21). Les niveaux d’anticorps neutralisants après la vaccination et au moment du diagnostic des cas étaient inférieurs à ceux des témoins non infectés appariés. Il n’y avait aucune corrélation entre les niveaux d’anticorps neutralisants induits par le vaccin et la charge virale ou le développement des symptômes.
      • Interprétation: Les infections à variant Delta percées sont associées à une charge virale élevée, à une positivité prolongée par PCR et à de faibles niveaux d’anticorps neutralisants induits par le vaccin, ce qui explique la transmission entre les personnes vaccinées. »
  • Il s’agit de nouveaux vaccins, développés à toutes vitesse, dans l’urgence, alors leurs effets à long terme n’ont pas été identifiés ni mesurés ni analysés. Quel recul avons-nous fasse à ces vaccins ? Aucun. Quel principe de précaution le gouvernement prend-il fasse à ces vaccins pour les parties de la population qui ne sont pas à risque ? Aucun.
  • Compte tenu de la vaccination massive mise en place, la prévalence des effets secondaires engendrés par les vaccins s’est accrue. Quels effets secondaires mes enfants auront-ils à subir à court, moyen et long terme parce qu’ils désirent faire du sport, s’entrainer et participer aux équipes sportives de leur école ? Ou pire parce qu’ils ont envie d’aller au restaurant entre amis ? Le gouvernement et les autorités sanitaires peuvent-ils répondre à ce sujet ? Non. Pourquoi mes enfants seraient mis de côté, discriminés et ostracisés alors que le gouvernement et les autorités sanitaires ne sont pas en mesure de répondre à ces questions ? Vais-je jouer à la roulette russe avec la santé de mes enfants à les faisant vacciner pour qu’ils puissent faire du sport ou aller au restaurant alors qu’ils n’ont aucun facteur de risque pour la Covid-19 ?

Nous jugeons inconcevable, dangereux et discriminatoire de faire vacciner nos enfants pour qu’ils puissent avoir le droit de participer à des activités et entrainements sportifs qu’ils soient à l’extérieur ou à l’intérieur de l’école ou inter-école.

Or la participation de nos enfants à des activités sportives et sociales est saine et positive sur leur bien-être moral, psychologique et physique. Pourtant, mes enfants se retrouvent interdite d’y participer.

Je ne prétends pas avoir une vision complète de la situation ni être experte en virologie ou autres domaines de la médecine. Cependant, compte tenu des informations qui sont à ma disposition, je trouve discriminatoire et nuisible à la santé mentale et physique de mes enfants de les empêcher de rejoindre l’équipe sportive de leur école ou de leur club sportif ou des gyms sous prétexte qu’ils ne sont pas vaccinés alors qu’ils n’ont aucun facteur de risque pour cette maladie et que les vaccins actuels n’immunisent pas et permettent la transmission.


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